� propos de Zazie: "Ce qu'elle �crit est tellement juste que �a m'�nerve." (Tir� de T�l� Magazine, f�vrier 97)

"J'�cris des chansons qui trottent dans la t�te."

� propos de l'engagement de ses chansons: Je fais des chansons d'amour. Je ne peux m'emp�cher d'en �crire. C'est ce que je veux donner et de toute fa�on je veux faire r�ver les gens. En plus, ce n'est pas la peine de dire les choses, d'�tre pr�cis ou vulgaire. Mes chansons sont bourr�es de tiroirs. Je parle de sentiments et j'int�gre parfois la maladie d'une fa�on ou d'une autre. C'est aussi une question de p�dagogie. Dans mon public, il y a des filles de 13 ans. Il faut dire les choses avec douceur. Il y a des gens qui se trompent de cible; il y a des moments pour la violence, les coups de gueule. Cela dit, c'est facile pour moi qui suis en bonne sant�. Je comprends la violence chez des gens atteints."

En parlant de Gainsbourg, Polnareff, Christophe..."J'aime les gens en d�calages.[par rapport � leur �poque et leur g�n�ration] Moi aussi, je suis en d�calage par rapport � ce qui marche actuellement."

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� propos de la pop musique: "La pop au frais, c'est spontan� et c'est compr�hensible � la premi�re �coute."

"Je n'ai pas une mentalit� de carri�riste, m�me si, bien entendu, j'ai envie de faire carri�re. Mais tout ce qui m'arrive a un c�t� tellement d�risoire. Je passe sur TF1, on parle de moi dans Lib�, pourtant je ne suis qu'un musicien."

� propos du bac (rat� par deux fois): "J'avais eu 3 en maths, � l'�crit du bac. J'ai d�barqu� � l'oral avec la t�te du mec de Kas Product. Longue m�che sur le visage et tempes ras�es. L'examinateur m'a recoll� un 3 d'office." (entrevue par Serge Loupien)

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"J'aimerais travailler avec Roda-Gil, celui du Patineur de Julien Clerc, ou avec Souchon, mais il n'�crit que pour Voulzy. Je suis davantage port� vers la m�lodie, j'aime donc travailler avec des auteurs qui me ram�nent vers plus de gravit�."

� propos de son implication dans la cause du sida: "Je me suis engag� il y a quelques ann�es. J'ai des potes qui ont disparu, je joue avec des personnes s�ropositives. Pour moi, c'est normal d'�tre l�, c'est m�me oblig�. C'est la g�n�ration qui veut �a. Pourtant, je ne suis ni homo, ni malade. Les gens font souvent des amalgames." (Tir� de L'ALSACE, Annick Woehl)

"Composer, c'est ce qui m'int�ressait au d�but, c'est ce qui m'a attir� dans la chanson"

"C'est � Rennes que j'ai commenc� la musique. J'y ai rencontr� un rock intello qui m'a fait du bien. Un peu comme si je passais d'un bain de lait sucr� � un baquet d'eau glac�e." (entrevue par Serge Loupien)

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Essayant d'expliquer son succ�s: "C'est un cheminement qui a �t� progressif. Le premier album a �t� or, le deuxi�me platine, et celui-l� [Superflu] diamant. Avant, c'�tait les p'tites salles, mais maintenant, c'est le Z�nith et des choses comme �a. Et il y a les paparazzi, les filles qui couchent devant ma demeure. C'est la vie (rires)!" (entrevue tir�e de La Presse, Montr�al, d�cembre 97)

� propos du th�me de ses chansons: "Y'a pas de message. C'est seulement pour faire r�ver, pour �tre avec les gens." (entrevue tir�e de Le Droit, Montr�al, novembre 97)

En parlant de ceux qui le traitent de chanteur � minettes:"Quand on me dit �a, je ne proteste pas, mais je fais simplement remarquer que Jim Morrison ou The Beatles l'�taient aussi." (entrevue par Serge Loupien)

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POUR D'AUTRES CITATIONS, VOIR:

Ma bio de Mister Obispo
La bio selon Florent de Mister Obispo ainsi que le questionnaire amour
Entrevue compl�te par Jacques Brachet
Pascal Obispo Pour lui, une chanson est un bout de r�ve par ZOE LIN

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Derni�re mise � jour: 9 juillet 1999